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Bernard Hinault : « Un ou deux verres la veille d’une course, c’était le meilleur des somnifères »

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DAVID ADRIEN En terrasse, pour renouer avec la conversation On l’a tellement attendu, tellement désiré ! Même avec un petit surplus d’averse dedans, il a réjoui bien des cœurs. Quel goût avait-il, ce vin de réouverture des terrasses ? Dans le verre déjà, il avait l’allure flatteuse, une robe brillante comme une soirée du 31 décembre et une frange aux reflets festifs. Au nez, se dégageait un parfum de soulagement, des arômes marqués de satisfaction, avec une note de « youpi ! » en finale. Et sur la langue, il dévoilait une vive fraîcheur printanière, enveloppée d’une onctueuse félicité et une longueur correcte, quoique s’achevant de façon abrupte, un peu avant 21 heures. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Bien marier le vin et son plat [...] Voir l'article complet sur Le Monde

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