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Gironde : comment les vins de Bordeaux crèvent l’écran

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007 a remis le couvert. Le château-angélus, grand cru classé A de Saint-Émilion, figure de nouveau au casting de son dernier opus, « Mourir peut attendre », aux 750 millions dollars de recettes. Comme dans « Spectre », James Bond y sirote un millésime 2005. Mais l’espion de sa majesté n’est pas le seul personnage de fiction à déguster des nectars bordelais ces derniers temps. Depuis la rentrée, l’actualité cinématographique multiplie les mentions à des crus girondins. Petit tour non exhaustif. Le dernier… A lire sur SudOuest.fr Voir l'article complet sur SudOuest

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