fbpx

Les champagnes Roederer gagnent en saveur grâce à la biodynamie

337
Jean-Baptiste Lécaillon, chef de cave de Roederer,  le 11 juillet 2018 à Reims (Marne). Il est photographié dans le vignoble Le Poirier Saint-Pierre, le premier à avoir été acheté par Louis Roederer en 1841. Ed Alcock/M.Y.O.P. Les bulles de la cuvée « Cristal » et des autres millésimés de chez Louis Roederer ne sont pas du toc : elles reposent sur une exigence artisanale de grande envergure. Car, à plus d’un titre, cette maison, longtemps liée aux tsars et qui continue d’exporter un tiers de sa production en Russie, fait figure d’exception dans le paysage champenois. D’abord, elle est l’une des rares à être restée familiale depuis sa création en 1776. Plus près de nous, le propriétaire s’appelait Jean-Claude Rouzaud, qui a hérité des clés de sa grand-mère et qui a [...] Voir l'article complet sur Le Monde

Autres articles autour du vin