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Perdre le goût et d’odorat, le cauchemard des œnologues

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Une perte handicapante pour les travaux vinicoles Lors de la première vague de l’épidémie, Serge Dubois, co-président de l’Union internationale des œnologues et patron d’une entreprise de négoce en vin du sud de la france, « a perdu le goût et l’odorat du jour au lendemain ». « Entre un verre de pastis et un verre de vin, il n’y avait aucune différence », raconte-t-il. Le goût est revenu progressivement au bout d’une semaine. Plusieurs mois après, Serge Dubois n’a pas encore retrouvé toutes ses sensations et compare son expérience à « quelqu’un qui a arrêté de fumer, il faut six mois pour se recaler ». « Quand [...] Voir l'article complet sur larvf.com

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