Grands bordeaux rouges : la sélection du « Monde »
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Robert Parker dans les caves du restaurant Taillevent, à Paris, en 1998. JEAN-PIERRE COUDERC / ROGER-VIOLLET Une page fut symboliquement tournée en 2019, dans le vignoble bordelais, quand l’Américain Robert Parker, le critique de vins le plus célèbre du monde, a pris sa retraite. Ses notes sur 100, qu’il donnait bouteille par bouteille dans sa revue The Wine Advocate, ont fait la pluie et le beau temps dans la région, surtout entre 1982 et 2010, hissant des vins – et leurs prix – au firmament. Aujourd’hui, il est surtout perçu comme ayant donné « le goût d’une époque ». Une époque révolue. De ce dégustateur longiligne est né un néologisme pour qualifier un certain type de vin : « parkérisé ». Dans son Dictionnaire de la langue du vin (CNRS Editions, [...] Voir l'article complet sur Le Monde