« Il ne doit plus s’arracher un hectare de vigne en France » : le MODEF veut des prix garantis sur le vin pour relancer la filière

portant des propositions de sortie de crise viticole à contre-courant, le syndicat des exploitations familiales ne veut pas de plan d’arrachage, qui accentuerait la crise pour lui, mais une réorientation de la production « sur ce qui marche », portée par une rémunération garantie des vins par l’État. Sinon, la colère va continuer de monter dans le vignoble, où « l’on va reprendre la route des pavés et des actions. Il ne peut pas en être autrement. » A ux mêmes maux les mêmes remèdes : face à la crise viticole, le Mouvement de défense des exploitants familiaux (MODEF) martèle que l’arrachage n’est pas une solution et que seule une meilleure rémunération permettra à la filière de se relever. [...] Voir l'article complet sur VitiSphere