
« Quand le négoce a besoin de vin, le millésime est bon, et quand il en a assez, il n’est pas bon. »
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En beaujolais, la récole 2025 historiquement faible ne permettra pas de couvrir les marchés habituels. Ce qui pourrait alléger les stocks d’un millésime 2024 s’étant très mal vendu. P our les primeurs, c'est une bonne surprise : « Tout le monde s'attendait à un marché en berne mais on fait mieux que ce qu'on pensait, partage Jean-Pierre Rivière, président de la section beaujolais de l'Organisme de Défense et de Gestion (ODG). En beaujolais villages, il devrait s'écouler autant de nouveaux que l'an dernier, voire un peu plus. En beaujolais, légèrement moins. Les cours sont [...] Voir l'article complet sur VitiSphere