Au milieu de ses vignes, Bernard Magrez cultive aussi des start-up et du houblon
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Définitivement dominée par ses rosés, la provence produit peu de vins blancs, alors que c’était l’inverse il y a moins d’un siècle. Décennie après décennie, la quantité a baissé pour osciller aujourd’hui, d’une appellation à l’autre, entre 2 % et 5 %. Certains blancs, comme ceux de Cassis, près de Marseille, ou de Bellet, sur les hauteurs de Nice, avaient encore il y a vingt ans une réputation de vins de gastronomie : on les considérait comme originaux et inimitables, avec leurs notes méditerranéennes iodées. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Le Clos Mireille, un vin blanc salin qui exprime une provence rare A la tête du Château de Pibarnon, à [...] Voir l'article complet sur Le Monde