Basile, le bio et la patrouille
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Il aura suffit qu’un vigneron explique au reste du monde qu’il mettait un terme à une expérience de culture bio de plusieurs années pour déclencher une de ces paniques dont Facebook a le secret, mélange de mauvaise foi et d’outrance, pratique habituelle de la patrouille des bien-pensants. Et démonstration une énième fois, s’il en était besoin, des grandes difficultés de nos contemporains connectés à comprendre ce qu’ils lisent. Basile Tesseron a expliqué à mon excellente consœur Béatrice Delamotte, rédactrice en chef de la Revue du vin de France, qu’après des années de tentatives diverses, il mettait un terme à l’usage du cuivre, arguant que celui-ci mettrait des siècles à se dissoudre dans les sols, ce qui le dérange beaucoup. Bref, rien [...] Voir l'article complet sur Le blog du BonVivant