La nature ne prend pas de repos
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Privés de main-d’œuvre étrangère depuis la fermeture des frontières, des vignerons du Québec ont lancé un appel à tous sur les réseaux sociaux. J’ai sauté sur l’occasion ! La semaine dernière, j’ai taillé de la vigne. Ça faisait des années que je souhaitais travailler au champ, mais je manquais toujours de temps. Vous savez, le temps : si accessible et pourtant si rare… Toujours est-il que cette période d’arrêt forcé m’aura fourni un prétexte idéal pour me rapprocher de la « matière première », enfin ! Sécateur (stérilisé) à la main, seule dans mon rang – distanciation sociale oblige –, [...] Voir l'article complet sur Journal de Montreal