Prendre son contre-pied (bis)
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En novembre dernier, je vous avais parlé de Contre-pied rouge. Je ne savais pas alors qu’il allait avoir un frère blanc. Le premier était une réinterprétation glou-glou du cépage Durac. Cette fois-ci, la famille Plageoles s’attaque au Mauzac blanc. Il a la réputation d’être plutôt tristoune, pas très aromatique. Cette cuvée Contre-pied prouve que ce n’est pas forcément une malédiction : il y a moyen de le rendre très sympa et même irrésistible ! La robe est jaune pâle, très légèrement trouble (fin non filtré). Le nez est appétant, sur les fruits jaunes (pêche/abricot), une touche légèrement muscatée, et même une pointe d’angélique pour apporter du peps. La bouche est ronde, fraîche, gourmande, avec une matière finement charnue, croquante, [...] Voir l'article complet sur Vins Etonnants