
Que reste-t-il des vendanges à la main ?
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« Qui aurait dit, il y a trente ans, que les machines à vendanger prendraient aujourd’hui une telle place ? Et qui peut dire qu’avec l’intelligence artificielle (IA) les liquoreux ne seront pas ramassés dans quinze ans avec des robots ? » Vincent Craveia, à la tête de Château Roumieu (15 hectares), résume ainsi l’avancée inexorable de la mécanisation de la récolte. Son équipe de vendangeurs est au travail devant nous, à Barsac, dans ce vignoble du Sauternais où le liquoreux est roi. Vincent Craveia, propriétaire du château Roumieu (Barsac), est également le président du GEA Voir l'article complet sur SudOuest