Vins de Bordeaux : le désamour des investisseurs chinois
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Sur la départementale 2089, à l’approche de Libourne, le panneau a disparu. Tout un symbole. Le château Lapin impérial, tout comme ses homologues Lapin d’or, Grande antilope ou Antilope tibétaine dans d’autres vignes girondines, ont retrouvé leur nom d’antan. La stratégie marketing impulsée sous le règne de leur propriétaire chinois Chi Keung Tong n’avait pas manqué d’attirer les médias et de faire réagir dans le monde viticole bordelais, il y a cinq ans. Pour pouvoir mieux vendre ses cuvées vers l’empire du Milieu, de nouveaux noms exotiques avaient été adoptés, non sans attirer quelques moqueries. A lire sur SudOuest.fr Voir l'article complet sur SudOuest