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Bordeaux : les grands crus croient au bio

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« Je ne regrette pas ma conversion mais c’est quand même dur. » Gonzague Lurton, à la tête du château Durfort-Vivens (Margaux, 60 ha, 75 euros la bouteille), est un pionnier du passage au bio au sein de la famille des 88 châteaux (61 dans le Médoc, 27 en Sauternais) figurants au classement 1855. Avec les quatre autres classements bordelais, il incarne l’élite du vignoble (1). Tant au niveau qualitatif que pour son poids économique : avec 4 000 ha, les crus classés 1855 totalisent un quart… A lire sur SudOuest.fr Voir l'article complet sur SudOuest

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