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Champagne et course automobile : quand le circuit de Reims était le paradis des bulles

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Durant l’âge d’or des Grands Prix, l’épreuve rémoise est, avec Monaco, la préférée des acteurs du circus. Un privilège qui doit beaucoup à l’ambiance festive que les maisons de champagne s’attachent à instaurer. L’image a fait le tour du monde. Tazio Nuvolari, joues brunies par la poussière et le vent, lunettes remontées sur le bonnet en cuir, boit au goulot du champagne – Moët & Chandon Brut Impérial millésime 1926 – dans un salmanazar qu’il soulève des deux mains. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la scène ne se déroule pas sur le circuit de Reims-Gueux, au cœur du vignoble champenois, mais de l’autre [...] Voir l'article complet sur Le Figaro vin

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