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Colère agricole : « Il faut s’accrocher et sortir de la crise viticole par le haut »

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Au château Vieille Tour, à Laroque (33), en aoc côtes de bordeaux, Jérôme et Béatrice-Anne Gouin sont comme bien d’autres vignerons de notre région : sur les nerfs avec une crise de mévente sévère et une récolte 2024 éprouvante, et amenés à arracher des hectares contre une prime. Le tout, sans compter les heures, sans se verser de salaire tous les mois et avec une trésorerie exsangue. Mais avec quand même l’espoir de s’en sortir. « Nous réduisons la voilure de notre vignoble pour se concentrer sur les meilleurs terroirs et développer nos ventes en bouteilles », indique l’exploitante. Et la Vieille Tour part de loin : jusqu’au Covid, la propriété n’avait que du vrac à proposer à un [...] Voir l'article complet sur SudOuest

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