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Désaltérofilles, la cuvée (r)osée de Benoît Rosenberger

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Malgré un nom à s’enivrer dehors, le rosé de Rosenberger ne roule pas des mécaniques. Tout comme le terroir auvergnat qui l’a vu naître, il est la plus pure expression de ce que les volcans ont de plus désaltérant à offrir. «Chaque année, je repars d’une page blanche». Un modèle de patience et d’humilité, voilà comment décrire Benoît Rosenberger, vigneron du Puy-de-Dôme. Un auvergnat d’adoption, né à Sancerre, et dont l’histoire avec le vin a commencé par un désamour, la champagne, et une envie de mobylette. Embauché par un oncle viticulteur champenois afin de financer le bolide susmentionné, il [...] Voir l'article complet sur Le Figaro vin

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