Eliette Abécassis, écrivaine : « Enfant, à la table du shabbat, je ne trempais pas mes lèvres, je buvais le verre de vin »
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Eliette Abécassis, à Paris, le 3 décembre 2024. ROBERTO frankenBERG POUR « LE MONDE » Normalienne, philosophe de formation, un temps enseignante, Eliette Abécassis vient de publier, à 55 ans, son vingt-cinquième roman, Divorce à la française (Grasset, 288 pages, 20,90 euros). Remarquée dès son premier ouvrage, en 1996, Qumran (Ramsay), un roman policier métaphysique, elle s’est beaucoup inspirée de sa famille juive dans son œuvre. Elle explore pour Le Monde sa relation au vin, en lien étroit avec sa biographie, sa famille, ses amis et sa religion. Vous souvenez-vous de votre premier contact avec le vin ? Ce fut forcément un vendredi soir, à la table du shabbat. Je suis issue d’une famille juive pratiquante, pour qui le vin est sacré. [...] Voir l'article complet sur Le Monde