Face à la guerre au Liban, des vignerons bordelais témoignent : « Nous sommes un pays épuisé »
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Une vierge du Liban trône dans une petite grotte de leur domaine surplombant la Garonne. « En principe, elle protège notre pays… » sourit Youmna Asseily, comme pour évacuer le tragique de la situation. Propriétaires du château Biac à Langoiran, les Asseily essuient une nouvelle guerre. Ils ont prêté leur demeure de Beyrouth à deux familles fuyant les bombardements. Ancien banquier à la City de Londres, Tony, un peu plus de 80 ans, est revenu en Gironde pour les vendanges, quelques jours avant que tout ne dégénère. Le couple se redécouvre une vie schizophrène : « On mène notre activité viticole tout en ayant un [...] Voir l'article complet sur SudOuest
