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Les visages de la crise dans le vignoble bordelais : « J’ai plus d’un million d’euros de dettes »

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« J’avais besoin de mettre des mots sur ce que je vis, d’arrêter de faire comme si tout allait bien. » Dans un long message posté sur Instagram le 16 septembre dernier, la viticultrice Amandine Noriega (43 ans) décrit les symptômes d’une profession en souffrance : les journées à rallonge, la crise bordelaise qui n’en finit pas, les aléas climatiques devenus banals… Jusqu’à la goutte de trop. Mi-septembre, alors qu’elle devait commencer les vendanges de ses vignes, Maison du berneuilh à Arbis, près de Cadillac, son corps a dit stop. [...] Voir l'article complet sur SudOuest

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