Louis Pasteur, le Jura et l’or du Temps
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Louis Pasteur a compris autant de choses dans les caves d’Arbois que dans son laboratoire parisien Arbois en hiver, des sentiers sous la neige, des arbres couverts de givre, des coteaux revêtus d’un blanc manteau… Le ciel est frais et beau, ce demi-clair-matin de vent, de froidure et de la pluie qui réveille au tréfonds de ma mémoire le souvenir d’un rondeau de Charles d’Orléans, capturé par les Anglais à la bataille d’Azincourt. Brisé par vingt-cinq ans de prison dans une tour de Londres, il n’attendait plus rien de la vie, « fors bon vin et bonne viande, banquetz, et faire bonne chiere ». Rue de Courcelles, le souvenir des cépages Voir l'article complet sur larvf.com