
« Nourrir la vigne ne peut se résumer à l’apport d’un engrais NPK », la fertilisation organique garde la cote malgré la crise
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Malgré la nécessité de réduire les coûts de production, la fertilisation organique garde la faveur de nombreux vignerons qui la considère comme plus respectueuse de leurs sols et de leurs vignes à long terme. « La vigne, c’est notre outil de production. Je suis coopérateur, je dois faire du volume », rapporte Olivier Peril, viticulteur à Cazouls-lès-Béziers (Hérault). Adhérant aux vignerons du Pays d’Ensérune, il doit également suivre les engagements de sa coopérative : « Nous sommes en HVE, explique-t-il. Pour respecter le nouveau référentiel qui incite à utiliser de l’azote organique, j’apporte environ [...] Voir l'article complet sur VitiSphere