On a testé les vins désalcoolisés : ça donne quoi dans le verre ?

En ces temps de Dry January, ceux qui aiment les vins classiques doivent changer de logiciel s’ils testent les vins désalcoolisés (1). « C’est un autre univers. Il ne faut pas les comparer. Ils s’apprécient différemment. » Anne Kettaneh et son mari Alexandre sont des pionniers. Après une première vie à Paris, elle dans l’agriculture et lui dans le conseil informatique, ils ont ouvert, en novembre dernier, les Belles Grappes, le premier caviste 100 % boissons sans alcool à bordeaux. Surtout des vins, mais aussi quelques bières et spiritueux. Sur le même sujet « On se sent [...] Voir l'article complet sur SudOuest