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Saintes : Philibert Chauvain, viticulteur, secoué par la crise du phylloxéra

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Je me demande encore comment je m’en suis sorti. Je m’appelle Philibert Chauvain et je suis viticulteur à Saintes. En 1905, c’est une rareté ! J’ai vu tellement de copains tout perdre. Des ceps rabougris et des dettes, c’est tout ce que le phylloxéra leur a laissé. Sale bestiole ! Pensez donc : avant qu’elle ne débarque des Amériques, notre vignoble alignait 350 000 hectares. Ça représente la moitié de la Charente-Maritime ! Aujourd’hui, il en reste 40 000… A lire sur SudOuest.fr Voir l'article complet sur SudOuest

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