« Un joli mensonge qui a profité à tous » : la Ville de Libourne sur les traces de Meymac-près-Bordeaux
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« Quand on veut être élu à Libourne, il faut être copain avec les Corréziens ! » La tirade de Philippe Buisson, maire de Libourne, dans les locaux de l’espace Gaye-Bordas, en centre-ville de la cité corrézienne de Meymac, a tout d’une boutade. Mais elle recouvre une réalité. Celle de la montée en puissance, dès le début du XXe siècle, des relations commerciales entre le pays de Meymac et le Libournais, le développement du commerce du vin, et in fine le choix de quelques familles d’investir dans des propriétés viticoles de la rive droite. Leurs noms résonnent encore dans la cité. Les Moueix, Audy, Bourotte, [...] Voir l'article complet sur SudOuest