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« Un millésime inouï, sublime et crépusculaire ! » Voici l’histoire et le goût du cognac de 1914, le cognac des femmes

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Londres, 6 décembre 2024. Christie’s disperse 567 bouteilles hors d’âge. Vins fins, portos, spiritueux : les trésors aux enchères dormaient dans la cave d’un château du comté de Durham, au nord de l’Angleterre. Un cognac Delamain de 1914 est adjugé 1 500 livres sterling (1 809 euros environ). Un smic brut mensuel. « Une bonne affaire ! Ce millésime introuvable est exceptionnel, sans doute le plus grand du siècle dernier, nous assure un connaisseur. La guerre débutait. Les hommes étaient au front. Les femmes ont vendangé et distillé. Le cognac de 1914 a une ampleur inouïe, une plénitude rare. » Sur le même sujet « Citoyens, c’est la guerre ! » Il y a 110 ans, les débuts de la Première Guerre mondiale en Gironde DANS LES ARCHIVES [...] Voir l'article complet sur SudOuest

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