Vigneronne et savonnière, cette Lot-et-Garonnaise élève une race d’ânes préservée
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« On dit l’animal têtu, mais il est plein de bon sens et m’apprend beaucoup. » Quand Héloïse Brunel s’approche de l’enclos de ses ânes, les bêtes accourent pour se faire flatter l’encolure. La quadragénaire est dans son élément au milieu de son cheptel de douze têtes. Du lait des ânesses, elle fait des savons depuis sa ferme de Caubon-Saint-Sauveur. « Il faut une relation de confiance … « On dit l’animal têtu, mais il est plein de bon sens et m’apprend beaucoup. » Quand Héloïse Brunel s’approche de l’enclos de ses ânes, les bêtes accourent pour se faire flatter [...] Voir l'article complet sur SudOuest