Vignerons de Buzet. « Nous n’avons plus le temps de nous disperser et de nous disputer » juge Nathalie Roussille

Vous avez mené de nombreux combats syndicaux ; comment avez-vous traversé celui de ces dernières semaines ? Comme quelque chose d’inédit. Humainement ou syndicalement, j’ai rarement vécu quelque chose comme ça. La construction du lac de Caussade était mémorable. Mais monter à Paris en tracteurs, c’était encore plus fort. Nous sommes partis après huit jours de manifestation sur le Lot-et-Garonne, où nous avions fait ce qu’il y avait à faire. Et malgré les annonces d’Attal, on est restés dans le mouvement, sans trop réfléchir. Plus on montait, plus on sentait la solidarité citoyenne. Cet élan nous a dépassés et la veille de l’action ultime à Rungis, j’ai vraiment pleuré, quand… Vous avez mené de nombreux combats syndicaux ; comment avez-vous traversé celui de ces dernières [...] Voir l'article complet sur SudOuest