Vignoble du cognac : grosse colère et petite vendange en perspective

« Le gouvernement français et l’Europe sont prêts à sacrifier une région entière. Les avons-nous entendus s’émouvoir de l’annonce de taxes chinoises qui pourraient nous toucher ? […] Pour la première fois depuis 1998, nous allons manifester notre très forte colère à cognac ! Nous resterons mobilisés. Faute de retour rapide, nous irons à Angoulême et s’il le faut à Paris ! » Les mots sont durs. Ce sont ceux d’Anthony Brun, viticulteur à Saint-Bonnet-sur-Gironde (17) et président de l’Union générale des viticulteurs pour l’aoc Voir l'article complet sur SudOuest