« 50 % de rendement en moins et jusqu’à 90 % certaines années » Pas de viticulture bio sans cuivre et c’est l’Anses qui le dit

L’Anses vient d’évaluer le coût de l’interdiction ou de la réduction de moitié de la dose autorisée de cuivre. De quoi soutenir les arguments de la filière bio qui déplore cependant les suppressions d’homologations décidées par l’agence. «  Les exploitations en viticulture bio seraient particulièrement impactées par une réduction importante de l’usage du cuivre et à fortiori par son retrait total. Dans certaines situations, il deviendrait difficile de maintenir une certification AB ». Alors que l’Europe doit décider sous peu de la réapprobation ou non du cuivre, l’Anses a publié cet été un rapport dont les conclusions sont sans ambiguïtés. [...] Voir l'article complet sur VitiSphere