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Armagnac dans les Landes : conduire un alambic, un art à maîtriser

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Assis dans son fauteuil, plongé dans son livre, les deux chiens du domaine du Berdet s’étalant à ses pieds, Guy Aubert ne perd pourtant pas une miette de ce qui se passe dans l’alambic et autour. Depuis la veille, 18 heures, et durant vingt-quatre heures, c’est lui qui est en charge de la surveillance de l’alambic de la propriété. « Nous faisons des tours de vingt-quatre heures, c’est une question d’habitude », sourit-il, sans sembler plus fatigué qu’une personne qui aurait dormi toute la nuit. « Je suis retraité et je continue à faire cela, autant par passion que par nécessité », poursuit-il. Sur le même sujet armagnac dans les Landes : le brûlot, un morceau de tradition Le moment du brûlot est un instant presque solennel, où l’on baisse la luminosité et [...] Voir l'article complet sur SudOuest

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