Fruit, feuille, racine, fleur : le calendrier lunaire a-t-il un impact sur le goût du vin ?

Sous des abords on ne peut plus poétiques, cette innocente question révèle à quel point le sujet fait débat au sein du petit monde vin. Bavardage mystique ou véracité scientifique, nous avons mené l’enquête. Chez la plupart des individus soumis aux mornes trajets pendulaires de la semaine de cinq jours, le lundi inquiète, le vendredi affriole et le dimanche engourdit. À plus large échelle, janvier laisse éclore un espoir de renouveau, mars l’impatience d’un redoux qui n’en finit plus de ne jamais arriver, juin l’imminence d’un temps de pause, octobre le retour des laines et des pluies sans conséquences, décembre l’excitation des fêtes et l’angoisse palpable des repas en famille.  » [...] Voir l'article complet sur Le Figaro vin