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Gestes barrières : boire ou guérir, il faut choisir

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Fête de la musique, le 21 juin, à Paris. ABDULMONAM EASSA / AFP En soirée désormais, il y a deux camps. Ceux qui embrassent, et ceux qui n’embrassent pas. Le point de départ se situe à peu près là. Prenons ceux qui y vont franchement, bises, accolades et tout le tralala. Le confinement a aiguisé leur besoin de contact, de toucher de la peau. En face, refuser une bise est sanitairement conseillé. Ce qui ne veut pas dire que c’est simple. En échange, on a gagné le droit de choisir son salut. En tenant compte du message implicite qu’il peut dégager. Au top de la tendance : le geste de la main (impersonnel), le check du coude (artificiel), le check du pied (acrobatique), le namasté (néobaba), le salut militaire (ici la qualité du geste est essentielle, car elle fait varier celui qui [...] Voir l'article complet sur Le Monde

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