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La Bolivie s’éveille à l’oenotourisme

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Ses crus gagnent en reconnaissance et les propriétaires s'organisent pour accueillir les visiteurs. À voir aussi Le 4×4 a peiné pour atteindre la parcelle escarpée, en surplomb de Villa Abecia. Sous le soleil printanier, le vignoble de Manuel Daroca, 3 hectares baptisés Cepas de mi abuelo (Les ceps de mon grand-père), embaume les figuiers qui le bordent. Levant la tête, le quinquagénaire désigne les vignes dont les grappes pendent à deux mètres de haut. « Je les ai installées en pergola car un pied produit ainsi trois fois plus qu’en rangée, et les fruits peuvent profiter du soleil toute la journée. C’est ce qui rend notre muscat d’Alexandrie si sucré », explique, [...] Voir l'article complet sur Le Figaro vin

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