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« L’élevage en jarre préserve l’arôme du fruit » : en Blayais, le Château de Piote cultive ses originalités

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« Nous vivions à Paris, mon mari et moi avions des métiers privilégiés et une vie confortable », commence Virginie Aubrion. Autant dire une voie toute tracée. Sauf qu’il y a un peu plus d’une vingtaine d’années, ils ont décidé de s’affranchir de ce chemin un peu trop bien balisé. « Nous voulions nous occuper un peu de la terre, de faire du vin. Mais le premier projet que nous avions de reprendre… « Nous vivions à Paris, mon mari et moi avions des métiers privilégiés et une vie confortable », commence Virginie Aubrion. Autant dire une voie toute tracée. Sauf qu’il y a un peu plus d’une vingtaine d’années, ils ont décidé de s’affranchir de ce chemin un peu trop bien balisé. « Nous voulions nous occuper un peu de la terre, de faire du vin. Mais le premier projet que nous avions de [...] Voir l'article complet sur SudOuest

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