« On s’adapte » : face au Dry January, les viticulteurs cherchent des alternatives en Bergeracois

« Surpris ». Voilà le mot d’Anthony Castaing, viticulteur à Pomport (Dordogne), quand on lui parle du Dry January (rebaptisé Défi de janvier dans l’Hexagone), ce mouvement lancé en 2013 par l’organisation britannique Alcohol Change, et qui fait des émules en france. Le professionnel se dit étonné par « l’ampleur » du succès que rencontre l’opération. « L’abstinence pendant un mois ne compense pas la modération pendant toute une année, estime celui qui est également maire de Pomport. Cela reflète notre société qui va toujours vers les extrêmes, [...] Voir l'article complet sur SudOuest