Viticulture en Libournais : les ceps arrachés peuvent être brûlés… mais pas n’importe où ni n’importe comment
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Une épaisse et haute fumée noire s’échappe d’une parcelle viticole, dans le Libournais, au milieu des vignes de Saint-Laurent-des-Combes et de Saint-Hippolyte. En ce mercredi 26 février, des tractopelles s’affairent à arracher des vignes. Amassés, les ceps de vignes forment un gros tas de bois brûlé sur place par le prestataire agricole. La pratique, dont le bilan carbone est peu honorable, étonne. Elle est pourtant légale. Mais sous certaines conditions. Sur le même sujet Crise du vin de bordeaux : 44 millions de pieds de vigne à éliminer, comment faire ? Le plan d’arrachage de crise va faire disparaître 8 000 hectares de [...] Voir l'article complet sur SudOuest