« Avec le réchauffement climatique, les arômes des vins sont en danger »
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Comme ici à cognac en mai 2015, les vignerons subissent des épisodes de grêle destructeurs ; Archives Philippe Ménard/SO La Drômoise Nathalie Ollat, dont les parents étaient agriculteurs, mène depuis trente ans des recherches sur la vigne, « une plante qui exprime le terroir, l’histoire, la culture et qui est un objet de recherche attractif ». Ingénieure agronome (école de Montpellier) , elle dirige l’UMR (unité mixte de recherche) Écophysiologie de la vigne à l’Institut national de la recherche agronomique (Inrae) de Voir l'article complet sur SudOuest