Vendanges : dans l’ombre des châteaux prestigieux, squats et marchands de sommeil
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« Pas sur ma pelouse » Trois kilomètres plus loin, deux autres campements débordent du port de Pauillac. Des travailleurs gitans, Français, indiquent venir pour les vendanges et déclarer leur installation en mairie, comme chaque saison. Comment loger les milliers de vendangeurs? Châteaux et élus du Bordelais se « renvoient la balle », sur fond d’un bien plus discret phénomène de marchands de sommeil, voire de traite, venu se greffer à la crise du logement. Au printemps, trois personnes ont été condamnées à Libourne pour « traite » de travailleurs viticoles. Le procureur local avait alors dénoncé « une véritable omerta ». En septembre, en Voir l'article complet sur larvf.com